C'est ce qu'a affirmé lundi à la presse le ministre de la Santé Marisol Touraine, à propos de l'expérimentation du médicament Xenical à Paris.

« Il faut savoir qu'en cas de prescription, les médecins ne sont pas obligés de délivrer le médicament. On a la chance d'avoir cette expérimentation qui va permettre de comparer les différentes possibilités pour la prise en charge de l'obésité », a affirmé la ministre.

« Il y a des patients qui sont en obésité et on leur a donné ce médicament qui leur a fait perdre du poids, et d'autres non », a-t-elle ajouté.

Cette expérimentation, mise en place par la ministre de la Santé, permettra de suivre pendant un an 3 000 patients atteints d'obésité modérée, c'est-à-dire qui dépassent le surpoids et le début de la prise en charge de l'obésité, et de comparer deux traitements différents, à savoir un placebo et un médicament existant qui a un effet comparable au Xenical, a expliqué le Pr Christian Gaudry, chef de l'unité de médecine nutritionnelle et métabolique au CHU de Nantes et directeur de la commission de transparence de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).

Un médicament très cher

L'exposition de patients à un médicament pour maigrir est « très coûteuse », selon le Pr Gaudry, qui estime que les patients doivent être en mesure de prendre en charge eux-mêmes leur perte de poids.

« C'est un produit qui coûte extrêmement cher et donc les patients n'ont pas le droit de se le faire prescrire gratuitement », a insisté la ministre.

Les patients qui ne sont pas en surpoids « doivent payer leur traitement » pour que ce soit efficace, a-t-elle ajouté.

Le laboratoire Roche, fabricant de ce médicament, « fait un travail de lobbying très important auprès des autorités de santé », a expliqué le Pr Gaudry. « Il n'y a pas de débat sur la légitimité de ce médicament, on est dans le cadre d'une autorisation de mise sur le marché », a souligné la ministre, qui a précisé que le traitement était « remboursé par l'assurance maladie » et qu'il avait été autorisé « pour les obèses en surpoids ».

D'après la ministre, « ce sont des études qui vont être faites pour comparer l'efficacité entre le placebo et le Xenical » qui est à l'origine du scandale de l'antidiabétique Lantus (insuline Glargine).

La ministre a affirmé que la Commission de transparence de l'ANSM avait émis un avis favorable pour l'autorisation de mise sur le marché de l'orlistat.

« C'est un médicament très intéressant pour les patients obèses », a assuré le Pr Gaudry, qui s'interroge sur la légitimité de cette expérimentation. « L'obésité est un problème de santé publique », a-t-il souligné.

Le prix élevé du traitement

« Si le traitement est bien encadré par le médecin, ce médicament est bien moins cher, voire gratuit dans certains pays », a souligné le Pr Gaudry. « Dans certains cas, la perte de poids est importante, il y a un effet bénéfique et il n'y a pas besoin de se faire prescrire ce médicament par son médecin », a-t-il ajouté.

L'obésité est un « véritable problème de santé publique », a souligné la ministre.

« Le seul médicament qui soit remboursé pour traiter l'obésité et qui a un effet bénéfique sur la perte de poids est le traitement orlistat » (placébo), a-t-elle estimé.

Le ministre de la Santé a rappelé que la prescription de ces médicaments était « encadrée », alors que l'ANSM recommande d'« être attentif à la perte de poids du patient », pour éviter le surpoids.

« On ne peut pas mettre un produit qui n'est pas remboursé en libre accès », a-t-elle insisté, soulignant que « les patients obèses sont aussi des patients qui ont des pathologies chroniques » et « sont souvent suivis par des médecins généralistes ».

« On a la chance d'avoir ce médicament, c'est une solution intéressante, on va pouvoir voir si on a vraiment un effet bénéfique sur la perte de poids et c'est ce qui va permettre de savoir si c'est remboursé ou pas », a-t-elle insisté.

Avant la ministre, une autre ministre avait pris la parole, lundi, sur le même sujet. « Ce qui me paraît important, c'est de lutter contre les stigmatisations », a déclaré Marisol Touraine. « On ne peut pas mettre un médicament dans les pharmacies et dire que ça marche à 100 % », a-t-elle affirmé lors d'un déplacement à Nantes.

« Je ne dis pas que cela a marché, mais cela a un effet sur les personnes », a-t-elle ajouté.

Les autorités sanitaires rappellent régulièrement que les médicaments pour maigrir ne sont pas sans risque et doivent être prescrits par un médecin et surveillés.

« Une solution à long terme »

Le professeur Gaudry a estimé que « c'est une bonne chose » de donner de l'argent aux patients « pour qu'ils puissent se prendre en charge ».

« On voit que cette prise en charge par l'assurance maladie est très insuffisante », a-t-il souligné. « Le surpoids est un problème de santé publique important et il faut mettre les moyens nécessaires pour régler ce problème ».

« Un médicament qui est efficace et qui peut être bien remboursé c'est le traitement orlistat », a-t-il insisté.

« Le traitement de l'obésité n'est pas un problème qui se pose uniquement au niveau médical, il faut également qu'il y ait des mesures éducatives qui puissent être prises par les médecins » afin d'éviter les comportements à risques, a estimé le Pr Gaudry. « La prise en charge de l'obésité n'est pas un problème uniquement médical. C'est un problème social, c'est un problème d'image de soi, c'est un problème de société. C'est une prise en charge qui doit être aussi une prise en charge du médecin ».

Le professeur Christian Gaudry s'est dit « prêt » à discuter « des moyens de mettre en place un médicament qui puisse être remboursé à un coût acceptable pour les patients ».

Des médicaments existants « avec un intérêt médical »

Le Pr Christian Gaudry a souligné que le traitement orlistat était « un traitement assez récent, il y a déjà des médicaments pour la perte de poids qui sont très bien remboursés et qui sont des médicaments assez récents ». « Je pense qu'il y a tout intérêt à ce que ces médicaments existent » et « que des alternatives existent » pour « faire un choix parmi ces médicaments ».

« Quand on a un problème médical il y a intérêt à prendre un traitement qui marche », a-t-il insisté. « Il y a des études qui sont faites actuellement sur des traitements plus anciens mais avec un intérêt médical ».

Les autorités de santé rappellent régulièrement que les médicaments pour maigrir ne sont pas sans risque et doivent être prescrits par un médecin et surveillés.

« Ce n'est pas une solution à long terme, il faut avoir une solution de traitement à long terme qui soit très efficace et qui ne soit pas dangereuse pour les patients », a affirmé Marisol Touraine lundi.

Elle a rappelé que l'obésité est « un problème de santé publique important ». « On ne peut pas mettre un médicament dans les pharmacies et dire que ça marche à 100 %. C'est le seul traitement qui ait un effet bénéfique sur la perte de poids », a-t-elle souligné.

« On ne peut pas mettre un médicament qui n'est pas remboursé en libre accès », a-t-elle insisté.

« On voit que cette prise en charge par l'assurance maladie est très insuffisante », a souligné la ministre.

Xenical (laboratoire), un médicament utilisé dans le traitement de la douleur chez l’adulte

Le médicament Xenical est utilisé pour traiter l’obésité chez l’adulte. En France, son nom commercial de marque est Alli, qui est un médicament qui est utilisé pour lutter contre la dépression chez les hommes. La plupart des médicaments vendus sont destinés à être utilisés chez l’adulte, en raison d’effets secondaires potentiels.

Les personnes atteintes de dépression ou de trouble bipolaire ont un risque de développer un trouble de la dépression chez leurs enfants. Lorsque le médicament ne peut pas être utilisé correctement, les personnes atteintes de dépression peuvent souffrir d’anxiété, d’euphorie, d’anxiété ou de dépression affecter leur comportement. Les effets secondaires courants comprennent le manque d’accommodation de la bouche, des difficultés respiratoires, des troubles de la mémoire, une diminution du niveau de concentration de certains médicaments, des troubles de la vision, des changements de la fréquence cardiaque et un écoulement nasal soudain.

Les contre-indications

Le médicament Xenical ne peut être utilisé qu’en cas de troubles de la dépression ou de trouble bipolaire, ou en cas de problèmes liés à la santé mentale. Il est déconseillé de prendre ce médicament pendant la grossesse ou l’allaitement. En revanche, il est important d’informer votre médecin de tous les médicaments que vous prenez. Le médicament ne doit pas être administré aux personnes souffrant de problèmes de santé mentale ou souffrant d’autres maladies médicales.

Pourquoi le Xenical est-il efficace ?

Les différents médicaments utilisés

Xenical est une médication efficace qui ne peut pas être utilisé pour traiter la dépression. Dans son effet, les médicaments inhibiteurs de la pde5 augmentent la sécrétion d’un neurotransmetteur qui provoque la relaxation des muscles lisses dans les parois des vaisseaux sanguins.

L’utilisation d’une combinaison d’un inhibiteur de la pde5 (Xenical®) et d’un inhibiteur de la pde5 (Leponex®) peut aider à prévenir les maladies et le diabète.

Xenical est utilisé en traitement des troubles psychiatriques chez les adolescents.

QUE LEXIOLIDE

QUE LEXIOLIDE?

QUE LEXIOLIDE?

Le Xenical est un médicament à base de Xenical, qui s'applique en cas de surdosage. Il contient le principe actif, le xenical, qui agit en augmentant la quantité de graisse ingérée par l'estomac. Son action permet de réduire les déshydratations, l'anorexie et la fatigue. Mais le médicament ne permet pas d'augmenter les enzymes digestives.

COMPOSITION

Nom du médicament	Substance active (celui)
Xenical (en cas de surdosage)	Xenical (120 mg)
Xenical (120 mg)
Xenical (120 mg)
Xenical (120 mg)
Xenical (120 mg)

PRÉCAUTIONS DE AIDE PHARMACIE

En cas de surdosage, on ne peut donc pas l'utiliser. L'effet des comprimés permet d'avoir une sensation de brûlure, de picotements, d'engourdissement et de somnolence.

QU'EST-CE QUE LEXIOLIDE?

Le Xenical est un médicament qui agit en diminuant la quantité de graisse ingérée par l'estomac. Il s'agit d'un effet de réduction de l'absorption du médicament en diminuant l'absorption des graisses. Ainsi, il réduit le nombre de selles dans le lait par le pancréas, ce qui permet à l'organisme d'obtenir et de maintenir une sensation de satiété plus intense. Ce médicament peut être utilisé en traitement de courte durée de la forme orale du Xenical.

DOULEURS D'IMPUISSANCE

Les patients ayant pris du Xenical doivent prendre du Xenical aussi longtemps que possible en cas d'une perte de poids. Le dosage du Xenical doit être réduit de moitié par des repas. Par exemple, un repas copieux peut diminuer la quantité de graisse ingérée. En l'absence d'effet indésirable, le dosage doit être augmenté de plusieurs fois par jour.

PRÉCAUTIONS DE AIDE PHARMACIE

L'absorption des graisses sous la forme orale du Xenical est deux fois plus importante que celle de la forme orale. La quantité de graisse ingérée reste environ 70 % et la quantité de sucre reste plus faible, ce qui n'est pas sans danger pour l'organisme. L'absorption du médicament doit être effectuée dans un équipement électronique et une mesure à long terme suffit pour réduire le risque de surdosage.

EFFETS SECONDAIRES

Le Xenical doit être pris régulièrement avec des aliments à consommer.

LA POSOLOGIE

La posologie du Xenical doit être adaptée en fonction de l'état de santé du patient, de sa tolérance et de sa réponse à la situation individuelle.

Aujourd'hui, le laboratoire américain GlaxoSmithKline va réduire le prix du Xenical en 2013. La molécule du médicament, le Xenical, était prévu pour le traitement de la constipation et de l'obésité.

Aujourd'hui, le laboratoire américain GlaxoSmithKline va réduire le prix du Xenical en 2013, vendredi, à deux milliards de dollars.

Les médicaments génériques de Xenical, un médicament de la famille des orlistat, vont seulement permettre de réduire leur prix en 2013, selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Le groupe pharmaceutique a précisé aujourd'hui que le prix du Xenical était atteint d'un tiers à partir de 2013.

Le laboratoire américain GlaxoSmithKline estime que le prix du Xenical est passé de 1 milliard de dollars à 2 milliards de dollars en 2013, en prévoit une étude parue vendredi par l'Agence du médicament (ANSM) de la Food and Drug Administration (FDA).

De plus, le marché du Xenical, qui s'est en train de continuer de progresser, est passé de 2,5 milliards de dollars à plus de 1 milliard de dollars en 2013.

Ces bénéfices de l'étude sont répertoriés par l'OMS et l'Association américaine des malades de l'Université de Columbia.

La FDA, qui a déjà annoncé le retrait du marché des orlistat, serait lancée à la même date en octobre 2012.

Le laboratoire américain GlaxoSmithKline, lancé en septembre 2012, se défend sur un marché de 2,4 milliards de dollars, en 2012.

Ce prix est en partie remis en question pour le Xenical et a été réduit en 2013, soit en fait un des deux produits du groupe, la molécule la plus vendue aux États-Unis.

Pour l'instant, la molécule du médicament Xenical est encore disponible sous forme de gélules et est le seul médicament en pharmacie.

Dans les études publiées en mars 2012, GlaxoSmithKline et l'agence américaine des malades avaient identifié un nouvel équivalent d'orlistat, le Xenical, qui agit en inhibant la recapture de la noradrénaline et de la dopamine, ces neurotransmetteurs dans le cerveau, pour s'opposer aux réactions néfastes.

Le Xenical est prescrit à des patients atteints d'obésité, une condition légère à modérée qui affecte les fonctions nerveuses.

Le laboratoire américain GlaxoSmithKline a conclu à une réduction du prix de l'orlistat de 1,5 milliard de dollars (1,4 milliard de dollars en 2013), soit en 2012, selon les données de son financement, en raison de la réduction du coût et du coût d'autres médicaments génériques. Le marché du Xenical a été estimé à 2,2 milliards de dollars en 2012.

Les chercheurs de l'Université de la Californie ont récemment révélé que le prix de ce médicament était passé de 4,1 milliards de dollars en 2012 à 8,4 milliards en 2013.